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Au pied de la lettre

Les rois de l’à-peu-près pour ce qui ne les passionne guère à l’inverse de l’amie pointilleuse, poinçonneuse, pointeuse exigeante. Comment font-ils ? D’où tiennent-ils cette attitude ? De minimis non curat praetor était une devise invoquée par leur père....

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De la méthode avant toute chose

Guillaume, cet ado de douze, treize ans, qui, avec Fabrice, sut très vite fabriquer leur carioli, une caisse à savon en tandem. Création ‘validée’ dès leur première compétition. Ce jeune homme, pas trop enclin aux études, qui donna quelques cheveux blancs...

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Lettre (suivie ?)

J’évoquai toutes mes missives restées sans réponse, je le déplorai. Voici comme une illustration d’un parcours bien identifié, un courrier avec une seule question qui nécessitait une réponse précise. Le suivi (pas par le truchement de La Poste) de cette...

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Tri (toutes ces lettres sans réponse)

Toutes ces lettres sans réponse Toutes ces missives ou tous ces courriels d’aujourd’hui qui ne reçoivent pas de réponse ! Dans quel monde fermé sur lui-même vit-on ? Les gens ne prennent pas la peine de répondre, s’en fichent. Ce paquet de doubles est...

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Avant les assises de la maternelle

Le ministre : Notre société souffre d’une addiction généralisée aux écrans. Fort bien. Sevrer les enfants, leur enlever leurs écrans à la porte des maternelles. Oh, le charivari ! (Reconnaissons que le ministre n’a pas dit ça.) Hier, certaines grands-mères...

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Le pouvoir de la rue, là-bas

Il y a juste un mois, je me demandais si le salut ne viendrait pas des jeunes Américains. Ils ne sont pas en passe de gagner, ne nous leurrons pas, mais ils ont réussi là où leurs aînés, humanistes ou politiciens, ont échoué à maintes reprises, ils sont...

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Ne pas en rajouter

Hier Annette n’avait que des louanges à adresser au gendarme qui s’était substitué à une otage et manifestement sacrifié mais elle ajoutait immédiatement qu’elle n’en pouvait plus de voir des islamistes, qu’elle avait peur aujourd’hui et qu’il faudrait...

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Curieuse atonie

Cette chose étrange en moi, d’Ohran Pamuk, semble l’avoir traumatisé, comme si la lecture à marches forcées, près de sept cents pages, avait drainé toute son énergie. Il ne peut dire, c’est nul, il l’a lu avec un certain intérêt, jusqu’au bout. Alors...

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